Avec Marie, nous allons consciencieusement voter à chaque élection. Parce que nous sommes de bons citoyens, bien sûr, mais aussi parce que, c’est devenu une tradition, chaque journée électorale est devenue prétexte à une sérieuse journée cul. J’ai déjà raconté plusieurs de ces chauds moments, par exemple dans Une journée d’élections publiée sur ma fiche du beau site Fessestivites. C’est aujourd’hui la première fois que l’on vote pour un binôme homme-femme, s’il en était besoin, cela nous aurait donné des idées.

Nous allons vivre cette journée en binôme en binôme cul évidemment, à poil et avec du gros dans le trou du cul.

En ce 22 mars 2015 nous resterons toute la journée à poil dans la maison du matin jusqu’au soir, avec du feu dans la cheminée, c’est la tradition dans ces circonstances. Mais, pour Marie, pas question d’aller voter à poil sous une robe ultralégère et ultra-courte, c’est bon en mai, pas quand il fait tout juste 6°, même si le printemps est là depuis deux jours. Pour moi pas de slip mais tout de même une veste par-dessus la chemise. Toujours la même question : quelqu’un d’autre est-il venu voter avec un plug au cul ? La question restera sans réponse mais je bande.

Déjeuner bien arrosé, ma bite dans la chatte, puis le cul de Marie, puis dans sa bouche, ensuite elle a droit à une grande rasade de Pineau des Charentes, son breuvage préféré. Fessée, travail des seins avec carcan et aiguilles enfoncées jusqu’à la garde, marquage du corps au feutre indélébile pour rappeler à la salope sa condition de chienne soumise ; nous avons déjà tellement fait le tour des possibilités que nous avons du mal à innover.

À mon tour, après m’être lessivé l’intestin en y enfonçant soixante centimètres du tuyau de douche, fessée, défonce du cul avec les godes de 7 à 9 cm de diamètre, le traditionnel rouleau à pâtisserie en marbre et le non moins traditionnel fist, presque jusqu’au coude. Je reviens sur les 60 centimètres du tuyau de douche, sans la pomme, dans l’intestin : en faisant couler un bon flot d’eau tiède, le tuyau dépasse sans aucun effort, sans même qu’on puisse le sentir, du rectum au colon ; depuis que je l’ai découvert je ne m’en prive pas. Tous les adeptes du lavement devraient le faire, mais pas eux seulement. Pas d’orties aujourd’hui, ni pour Marie ni pour moi ; ce n’est pas la saison, dommage.

Nous avions prévu de revenir voter la semaine suivante, peut-être la température aurait-elle remonté, nous avions préparé un programme de réjouissances cul avec de l’exhibition dehors. Un binôme ayant été élu dès le premier tour, nous n’avons pas eu à voter le 29 mars et, comme le temps ne se prête pas à des exhibitions dans la nature, nous sommes allés rendre visite à la famille, Marie s’est seulement mise à poil dans la voiture, les pieds sur le tableau de bord, m’offrant sa chatte gluante que je pétrissais tout en conduisant.

Au retour, comme les vainqueurs des élections faisaient la fête dans une salle municipale, nous sommes allés participer aux festivités. La salle étant bien chauffée, Marie ne portait rien sous un robe légère, un danseur a vu son marquage de pute au-dessus des seins.

Très excité le danseur a voulu en savoir davantage ; puisque je suis adepte du candaulisme, elle lui a proposé de venir à la maison le lendemain, c’est-à-dire aujourd’hui. Elle l’a accueilli le corps parsemé de cire de bougie avec des pinces aux seins et un marquage exhibant sa fierté d’être pute. La suite n’a plus rien à voir avec les Départementales.